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8 octobre 2010

Recherches googoles du jour

- le très évocateur : "je les fais ejaculer dans leur slip" - l'humoriste des grosses têtes : "Dis aux femmes fontaines que petit j'étais bébé nageur" - l'hyper précis : "coppelia brule" - le geek obsédé qui googolise à tout-va : "+tremble +jouit +fontaine"...
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7 octobre 2010

#81

Réellement, mon romantisme à deux balles m'effraie bien plus que la schizophrénie !
6 octobre 2010

#80

Par le biais des recherches par mots-clés dans les statistiques de ce blog, je me rends compte qu'il existe un livre intitulé "Les cendres d'Arsinoé". Je trouve ça trop fort. Je devrais chercher s'il n'y a pas, quelque part, oublié sur un rayonnage de...
4 octobre 2010

#79

Salope !
1 octobre 2010

#78

Premières nuits d'errance entre Corrientes et Armenia, cet air qui me tue, les voitures - je me souviens que l'on traversait comme des folles, à 15 ans, certaines que rien, jamais, n'aurait notre peau - les lumières de la ville comme on en voit pas à...
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1 octobre 2010

Un père #11

Il est parti vivre de plus en plus loin et ils ont finalement dû estimer que quatre cents bornes, ça ne valait pas le coup qu’on y aille plusieurs fois par an. Alors mon père, tu vois, c’était un genre de colonie de vacances, où l’on débarquait, morveux,...
30 septembre 2010

Un père #10

Très vite, il nous a pris de moins en moins souvent : une après-midi par-ci, par-là, dimanches glacés entre les vieilles pierres parisiennes, le sang qui cogne sur les tempes sous les assauts du vent d’hiver, les marrons chauds dans des cuves rouillées,...
30 septembre 2010

#77

Ezeiza, enfin. Le voyage ne s'achève pas dans cet aéroport, mais ici règne une sorte de finalité intrinsèque. Parce que c'est là, derrière ces barrières de douanes, que je retrouvais Arsinoé, et que rien d'autre, ensuite, ne m'importait. Avec elle, j'étais...
30 septembre 2010

#76

J'ai perdu tous mes poissons. Le feu géométrique brûle. L'aube saupoudre les balcons ventrus de Brasília. Je dors dans les bras de l'hôtesse de l'air.
29 septembre 2010

Un père #9

Je croyais qu’ils se battaient un peu, lui pour faire valoir son droit de nous avoir, elle parce qu’elle ne voulait pas que l’autre femme s’occupe de nous un seul instant, pas même un week-end sur deux, pas même la moitié des vacances. Moi, tu sais, j’avais...
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Avant-propos

Lecteur, lectrice,
Mon nom est (presque) Coppélia Brulé et ceci est (presque) mon histoire. 
Génétiquement bizarre, tenant autant de la méduse que de l'homo erectus, j'essaye de vivre parmi les humains. 

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