Ça s'est passé comme un ouragan, comme dirait
Ça s'est passé comme un ouragan, comme dirait l'autre.
Je lui ai écrit juste après mon post d'hier, et il m'a répondu 3 minutes après que je pouvais passer à l'atelier. Tout ce que j'imaginais pouvait devenir réel, survenir dans mon corps, je veux dire, pas seulement l'idée de sa bite mais sa vraie bite, sentir sa dureté, pas l'idée de son odeur, comme un fumeur hallucine l'odeur du tabac et la sensation dans ses bronches, mais prendre une vraie bouffée. J'y suis évidemment allée (mais comment font ceux qui se sortent de la drogue ? Vraiment ça me dépasse, moi je n'ai aucune, mais absolument aucune volonté : au moment du soulagement de mon désir, je ne me rappelle absolument pas pourquoi je devais arrêter, une seule chose compte, Lui).
Il n'a pas voulu qu'on se déshabille entièrement parce que ses ouvriers pouvaient revenir d'une minute à l'autre mais on a baisé comme des fous, comme des assoiffés.