#84
Stockholm.
Nous allons bien nous amuser. D'abord, nous la ferons boire, puis nous roulerons quelques pétards (s'il ne sait pas, je lui apprendrai). Nous serons tendres et drôles, et charmants. Habillés de la même façon, comme des jumeaux de sexe opposé, et elle ne se méfiera pas, pensant naïvement que notre désir est tout entier orienté vers elle. Elle se sentira briller comme une reine, alors qu'elle sera notre petite pute à baiser. Doucement d'abord, il se fera plus sombre, moins prévenant, de soudaines petites phrases l'humilieront gentiment. D'un coup, il deviendra brutal, elle sursautera.
N'espérez pas une chute heureuse à cette pitoyable histoire, vous savez bien que la vie est faite ainsi.
Il la giflera plusieurs fois, et lui donnera quelques coups de poing dans l'épaule, en serrant son bras frêle un peu trop fort. Elle pleurera beaucoup, à chaudes larmes qui font mal, n'osera plus crier, après qu'il l'aura menacée de lui déchirer la fente. Je revêtirai alors mon visage le plus doux, je me ferai miel et beurre et je la consolerai, faisant mine de m'interposer entre elle et lui, mon amant. Il sera nu, le sabre bien raide. Il saisira mon petit pied blanc et le lui introduira dans le con, et je chatouillerai sa paroi humide de mon gros orteil. Quand elle mouillera ce qu'il faut, je raclerai son foutre de mon index pour le lui faire lécher. Alors je saisirai la queue de mon amant pour lui éventrer le minet. Quand il l'enculera bien profond, je plongerai ma main dans sa chatte, en prenant garde de ne rien déchirer, chatouillant sa cerise de mes doigts encore libres. Je branlerai alors la grosse broche de mon homme à travers la paroi vaginale, jusqu'à ce qu'elle en chie sa semence.